mardi 5 novembre 2013

Ville intérieure imaginaire (Sandrine)




Avec soudain le temps du carrefour

L’espoir d’un pont entre eux et moi

Les impasses passées rêvant encore d’amour

Choisir le sentier qui ira tout droit

De galerie en galerie

Remonter cette allée cette pente au galop

Avec un passage aux murs un peu gris

Une place où coule de l’eau

La bonne rue enfin enfin au bon endroit

Un rayon effleure un bout d’avenue

Nul pleur pour assombrir la voie

Au bout d’un autre quai passerelle chenue

Enjamber la pluie qui mouillait la route

Avec un boulevard pour gommer tous mes doutes

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Contente de te revoir en super forme !
Acid