(texte original ici)
Crochet d’eau
Le granit superbe, parfois barré. Pas d’œil. Pas échancré. Il torse le bouclier.
Lorsque c’est impossible, il reste l’ultime. Le cas.
Vous prenez l’eau. C’est pointu et acéré. Un granit. Vous le posez qui saille d’un millimètre. Voilà, posé à l’extrémité : trois marches. Vous respirez. Vous posez l’inférieur et vous chargez cette mince margelle. Très lentement. Tout geste encoche progressivement, à l’aplomb du crochet, au fur et à mesure, consolidé. Encore vous vous élevez. Évitez entièrement, l’air vibre.
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